Confrontation ou non? PV

Le survivant avait passé une journée assez normal. Enfin aussi normal que puisse être une journée pour celui qui avait survécu. Mais malgré cela, sa faisait du bien. Bon, la nuit sa n'avait pas été sa mais s'était presque tout les soirs en ce moment donc il s'y était habitué. Il n'était pas rassuré pour autant puisque cela voulait dire que Voldemort était de plus en plus présent. Bref, sa fin de soirée, il la passa avec sa sœur où ils en profitèrent pour discuter de tout et de rien à la fois. Cela aussi, sa lui avait fait du bien. Savoir qu'il avait de la famille, une personne qui pouvait lui parler, même vaguement, de ses parents en dehors de Poudlard lui faisait du bien. Puis se fut l'heure du couvre-feu et le jeune homme du rejoindre les dortoirs de sa maison. Miranda quand à elle, se rendit dans les appartements de Rogue. Sa lui faisait toujours aussi bizarre de savoir que s'était Rogue qui avait élevé la jeune femme. Brrr, sa lui donnait des frissons rien que d'y penser.

Une fois dans la salle commune des Gryffondors, Harry tenta de faire ses devoirs et voyant qu'il n'arrivait à rien laissa tomber. C'était Hermione qui allait lui tomber dessus. Puis, petit à petit la salle commune se vida. Il ne restait plus que deux trois étudiant. Le jeune homme s'installa dans le canapé en face de la cheminée qui crépitait doucement et entreprit d'écrire une lettre à son parrain. L'adresse sera bien sur celle de Kara et la lettre lui serra destinée en apparence mais sinon elle était bien pour son parrain. Dans cette lettre, il lui racontait les derniers jours passer.

Invité

Ronald avait passé une journée épuisante et fatiguant. Ces derniers temps il dormait peu, et passait même certaines nuits blanches prés du feu de la salle commune. De plus aujourd'hui il avait croisé cette fille, légérement plus grande et plus blonde que Ginny, mais étrangement Ron percevait une ressemble entre elles. Ces derniers temps il pensait souvent à sa petite soeur, voir même un peu trop, ce qui lui valait réguliérement des absences en cours ou même avec ses amis.
Et encore un soir, le rouquin se retrouva seul, ses amis étant partient fouiner dans les couloirs. Ron n'y avait plus vraiment goût et préféra trainer dans la salle commune. Il pensa s'y trouver seul vu l'heure tardive mais en desendant il remarqua un jeune homme dans le canapé face à la cheminée. Ronald qui cherchait à se changer les idées et un peu de compagnie, s'intalla sans hésiter dans le fauteuil à ses côtés. Mais en voyant Harry Potter il changea bien vite d'avis et détourna son regard sur le feu.

Le jeune homme en était à la moitié de sa lettre quand il entendit du bruit. Cela faisait maintenant bien une heure que tout le monde était partit se coucher. Une personne s'était donc relevé car elle n'avait pas réussit à dormir. Harry ne s'en familiarisa pas plus que sa. Personne ne pouvait lire le contenu de sa lettre sans se pencher par dessus son épaule et en plus, il ne citait aucun nom. Il n'avait donc rien à craindre qu'on puisse découvrir quelque chose sur son parrain. En plus, le survivant avait une écriture de chien ce qui aidait aussi.

Harry sentit plus qu'il ne le vit la personne en question s'asseoir non loin de lui sur un des fauteuils. Il leva alors les yeux vers cette dite personne par curiosité et vit qu'il s'agissait de Ron. Il ne put s'empêcher de ressentir un pincement au cœur lorsque leur regard se croisa. Puis Weasley détourna les yeux. Lui qui avait été deux ans son meilleur ami lui avait tournée le dos à la première occasion. Ce n'était pas vraiment de sa faute si il n'avait pas pu sauver Ginny. Il aurait du faire quoi? Se faire tuer pour que elle survive? Bref, Harry chassa ses idées noirs de sa tête et retourna à sa lettre. Il avait promis à Hermione de ne pas faire l'idiot, il comptait bien tenir sa promesse

Invité

Lorsque leurs regards s'étaient croisée, Ronald eut mal au cœur. Il était partagé entre la tristesse d'avoir perdu un ami et la rancœur qu'il avait nourrit pour celui-ci ces dernières années.
Le gryffondor se renfrogna dans son fauteuil, en enfonçant ses mains dans ses poches. Au fond de l'une d'elle il y trouva une boite en carton, légère, triangulaire. Ron la sortit et la regarda à la lumière du feu. La boite était violette, ornée d'or, c'était une choco-grenouille. Doucement il l'ouvrit, et s'en attendre la grenouille sauta or de la boite, bondissant sur la table, se qui fit sursauter Harry.
Ronald fixa la choco-grenouille, il se souvint alors que c'était la première friandise magique qu'il avait fait découvrir à Harry dans le train lors de leur rencontre mais aussi première venue à Poudlard.
Ronald n'eut pas le courage de l'attraper, alors qu'elle était immobile sur la table et prête à se faire avaler avec gourmandise. Soudain, la choco-grenouille sauta sur les genoux d'Harry.

Harry continua tranquillement sa lettre sans se soucier du reste. Pour l'instant Ron ne le cherchait pas. Harry n'avait donc aucune raison de lui parler. Le survivant avait bien entendu remarquer que son ancien meilleur ami n'allait pas très bien mais n'avait rien pour ne pas se faire remballer dans les règles. On ne savait jamais. Harry était le mieux placé pour savoir que quand on était pas bien ou de mauvaise humeur, on pouvait facilement s'en prendre aux autres.
Le jeune homme signa sa lettre quand un bruit de grenouille le fit sursauter. Il leva alors les yeux de son parchemin et aperçut une grenouille provenant d'une chocogrenouille sur la table. Weasley et les sucreries sa n'avait pas changé. Il se sentit triste en pensant que s'était la première friandise qu'ils avaient manger ensemble dans le train. Harry s'apprêtait à signer de nouveau sa lettre quand la chocogrenouille lui sauta littéralement sur les genoux. Il la regarda pendant un instant en se demandant bien pourquoi elle n'allait pas voir ailleurs si il y était. Mais celle-ci ne semblait pas vouloir bouger de sa place. Harry choppa la chocogrenouille et posa ses affaires sur la table avant de se redresser et d'aller s'asseoir près de Weasley et la lui tendit

Il me semble que c'est à toi

Le survivant avant dit cela sans aucune méchanceté dans la voix.

Invité

[hj: pardon pour le retard. Embarassed

]

- Il me semble que c'est à toi

Ronald fronça les sourcils. Pourquoi cette foutue grenouille avait-elle sauté sur le seul type que le rouquin ne voulait pas approcher? Voilà longtemps que les deux gryffondors ne s'étaient pas retrouvés si prés l'un de l'autre. Ronald dut inspirer profondément avant d'adresser la parole à l'élu.

- Tu peux la garder ... Elle aussi semble préférer l'élu.

Ronald, toujours aussi jaloux de son ancien ami, faisant ici encore allusion au rapprochement entre Harry et Drago. Après leur dispute, Ron avait vu beaucoup de ces amis préférer Harry à lui pour sa célébrité. Ce qu'il lui avait longtemps envié.
Le rouquin croisa les bras sur son torse, serra les poings pour se calmer et détourna son regard vers la cheminée.

(HJ: pas de problèmes Razz

. Il y a un cour de Potion ouvert, je te conseilles d'y allez pour ne pas qu'on perde de points Wink

)

Visiblement même en voulant être sympa, il se faisait jeter par son ancien meilleur ami. Mais de cette manière, Hermione ne pourra pas dire qu'il n'y avait pas mis du siens. Harry n'avait jamais compris pourquoi Ron enviait sa célébrité. Si il la voulait, il la lui donnait. Lui préférait largement être à sa place. Ne pas avoir un mage noir mégalomane au fesse qui tentait de vous tuer toute les années, ne pas être connu à cause de son nom mais pour ce qu'il était. Et si Ronald n'était pas aussi buter, il pourrait montrer aux autres ce qui valait.

Qu'est-ce que tu peux idiot sérieux ...

Harry jeta la grenouille dans la cheminée. S'était toujours mieux que sur lui. Le survivant soupira puis retourna s'asseoir. Le jeune homme avait vraiment penser que Ronald serait différent des autres qui n'était avec lui que pour son nom. Bon bien sur là il ne parlait pas de Grace, sa sœur et de quelque autres rare personnes comme Hermione. Mais visiblement, il s'était bien gouré.

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D'un certain côté Ron regrettait ses paroles. Il connaissait assez Harry pour savoir qu'il n'aimait guère cette célébrité. De plus, il savait très bien que si Hermione avait été là, elle lui aurait lancée un sale regard noir; elle voulait que Ron fasse des efforts. Mais Ronald n'y arrivait pas, il lui avait fait confiance, il lui avait laissé, dans un certain sens, la vie de Ginny entre les mains ce jour-là. D'ailleurs, le rouquin s'en voulait toujours d'avoir laissait Harry aller seul se battre, il aurait dut insister et l'accompagner. C'était sa soeur, sa petite soeur.
Ronald sentit les larmes lui monter aux yeux quand Harry jeta la grenouille au feu. Il se leva d'un bond, fusillant Harry du regard.

- Tu aurais du savoir ... Tu aurais du savoir que ça aller la tuer! Tu aurais dut m'emmener avec toi!

Ronald avait crier si fort, il était si en colère contre Harry et contre lui-même. Ses mains en tremblait, ses genoux se cogner, sa voix était hésitante et sa gorge ,elle, était nouée tant le jeune homme se retenait de ne pas pleurer devant Harry Potter.

- Plutôt que de ... que de jouer les héros!

Harry venait à peine de se rasseoir quand Ron se leva d'un bond et commença à lui crier dessus. Il aurait bien mieux fait de s'abstenir de lui parler finalement... Le jeune rouquin lui reprochait toujours la même chose. D'avoir tué sa sœur. Il ne pouvait pas lui en vouloir d'être en colère même lui se sentait coupable de ne pas avoir pu la sauver alors que lui s'en était sortir. Mais il restait un être humain et ne pouvait pas sauver tout le monde aussi mal que cela pouvait faire. Harry se leva alors de nouveau pour lui faire face. Ils n'était plus vraiment discret maintenant et si ils n'avaient réveiller personne cela tenait du miracle

Le savoir?? Je ne suis pas devin!
Ron tu sais aussi bien que moi qu'on aurait davantage perdu de temps à enlever toute les pierres pour que tu viennes avec moi et elle serait morte quand même!

A cause d'un sort jeté par leur professeur de DCFM avec la baguette cassé de Ron, le sort s'était retourné contre lui et avait en même temps fait effondrer des pierres qui avaient séparer les deux jeunes. Du coup, le rouquin n'avait pas pu l'accompagner

Bien sur tu aurai préféré que je me fasses tuer mais sache que sa n'aurait pas sauver Ginny pour autant!